Bouddhisme, Hindouisme, Voyance, Religions,
Sectes...
Ceux qui propagent de telles inepties.
Extrait du livre : Vers
un monde d’Amour de Jean Pernin et Marie-Madeleine Jacob.
Source : http://ecoledesanges.over-blog.com
« Le schizophrène est un esprit évolué, mais il est
perturbé par l’utilisation anarchique et involontaire de ses facultés
sensorielles, supérieures aux organes qui génèrent les cinq sens, c’est à dire
les facultés propres à son âme.
Être schizophrène, c’est être prisonnier d’un
réseau de communications avec le monde invisible, qui n’est pas structuré ni
organisé de façon cohérente. En conséquence, celui qui est pourvu de ce type de
réseau s’en trouve très malheureux parce qu’il ne sait pas comment agir pour
faire taire certains correspondants, ou pour en appeler d’autres. Rester dans
cet état peut, en effet, conduire la personne atteinte de ce dérèglement
médiumnique à vivre des situations très désagréables. Les esprits de toutes
catégories se manifestent à elle parce qu’ils cherchent toujours un canal pour
s’exprimer. Cela est surtout vrai pour les esprits des fréquences inférieures.
Le schizophrène a donc de fortes chances
d’entendre plutôt ces esprits, parce qu’ils sont très proches de la terre et
s’amusent comme ils le peuvent. Cependant, ils ne sont pas conscients, pour
certains, du mal qu’ils font en agissant ainsi. Ils échappent tous à la
hiérarchie spirituelle, et se livrent aux pires excès qui vont parfois jusqu’à
manipuler un être faible en le conduisant jusqu’au suicide.
Les possibilités de guérison du schizophrène ne
passent pas par l’absorption massive de ces médicaments chimiques, écrasant
l’esprit et transformant le soi-disant malade en une véritable légume, afin
d’anéantir ses perceptions.
Il faut, au contraire, lui expliquer ce qui se passe réellement, et l’aider à gérer tout le désordre auquel il est confronté. Il faut que la personne soit sensibilisée à ses réelles possibilités de guérison si elle arrive à contrôler ces voix qui l’obsèdent, et qui pour la plupart lui font peur. Il faut que toute personne atteinte par ce problème ne soit plus en situation de faiblesse.
Bien au contraire, le schizophrène est un être
spirituellement très évolué, qui peut et qui doit s’opposer avec une grande
autorité à ces esprits invisibles qui le perturbent, en leur imposant le
silence et le respect.
Pourquoi certains esprits évolués sont-ils
désignés comme étant schizophrènes, et d’autres ne le sont pas ? C’est une
grande interrogation, mais nous allons y répondre.
Les êtres qui sont sensibles aux voix et aux
manifestations du bas astral (lesquelles sont très souvent éprouvantes et
traumatisantes pour la personne qui les reçoit) sont des esprits
prisonniers d’un douloureux passé spirituel, qui les a mis dans une situation
de vulnérabilité excessive. Ils ont vécu la peur dans une vie antérieure. Ils ont été placés
dans les pires situations qu’un être normalement constitué ne pouvait
supporter. Presque toujours, ils ont subi des sévices physiques et moraux et
sont devenus des esclaves de l’esprit humain. C’est à dire qu’ils ont subi la
domination outrageante d’êtres ignobles et sans scrupule. Ces esprits ont été
affaiblis par ces expériences de vie, mais ils ont également développé de
grandes facultés de résistance et de communication avec le seul être
susceptible de les comprendre et de les aider : Je parle de leur guide
spirituel ou de leur ange gardien.
Ces expériences douloureuses les ont suivis,
et les suivront jusqu’au terme de leurs multiples vies. Cependant, il faut
comprendre qu’un schizophrène est souvent à la fin de sa vie spirituelle, c’est
à dire de ses multiples vies, lorsque de telles souffrances se manifestent. Il est toujours fragile
et se met sans en être conscient, sous la tutelle de l’autorité la plus
négative du monde invisible. Je parle de Satan : cette force noire qui ne
souhaite que le mal, et qui s’empresse de se manifester auprès de tous ceux qui
sont en situation d’extrême fragilité psychique.
Il est plus facile d’en sortir lorsque la
personne atteinte n’est pas schizophrène. Et pour cause, elle n’en perçoit que
la pensée et reste donc moins facile à atteindre. Celui qui perçoit la voix de
façon très claire est beaucoup plus vulnérable, parce qu’il croit se retrouver
dans la situation de soumission précédemment décrite, dont le souvenir est
inscrit dans la mémoire de son âme.
Le processus de guérison est donc simple et
complexe à la fois. Il passera toujours par l’écoute et par la compréhension du
possédé, parce qu’il s’agit en l’occurrence d’une véritable possession. Elle
n’est surtout pas à prendre à la légère.
Bien sûr, les cas sont divers et ne présentent
pas tous les mêmes symptômes, mais le fond du problème ou la cause est
identique. C’est la raison pour laquelle le traitement passe obligatoirement
par une compréhension objective, traduite dans les moindres détails à la
personne qui souffre. C’est la seule possibilité qui s’offre à elle de se
sentir soutenue et renforcée dans son propre combat intérieur qui consiste à
éliminer les voix perturbatrices, et à se débarrasser définitivement des intrus
qui s’emparent de façon intempestive, de son esprit.
L’être soumis à de telles agressions ne peut
résister très longtemps, surtout si le traitement qui lui est proposé est
exclusivement chimique. Le traitement psychiatrique doit passer par la
compréhension spirituelle des manifestations. Elles ne proviennent pas du
cerveau comme le pensent les médecins, mais se produisent au contraire par le
processus d’écoute télépathique ou clairaudient du corps éthérique. Il faut
donc que le traitement soit approprié à celui qui est la cause du désordre, et
non à celui qui ne l’est pas.
Sachez, savants psychiatres, que si la folie
se manifeste chez une personne schizophrène, la cause est essentiellement liée
à l’absorption de vos médicaments chimiques qui ne font que détruire. Rien de
ce malaise observé ne peut être guéri de la sorte. En agissant ainsi, vous
réduisez l’être à l’état d’esclave. C’est à dire que vous relayez avec une méthode
de soins uniquement chimique, les méfaits de l’action occulte et invisible
précédemment décrite. Le cercle est très vicieux.
Oh ! Bien sûr, vous n’êtes pas
responsables puisque vous ignorez pour la plupart l’existence de cette influence,
malgré tout ce que vous entendez de la bouche même de vos patients. Mais il
faut que vous sachiez à partir de maintenant inverser la tendance :
alterner soins physiologiques et spirituels, et progresser lentement mais
sûrement vers une nouvelle thérapie.
Notre souhait le plus cher est celui-là, et
ainsi, l’évolution que vous observerez ou plutôt que vous reconnaîtrez chez vos
« malades » ne pourra qu’être bénéfique à la vôtre. Je parle non
seulement de l’action thérapeutique, mais également et surtout de votre
progression spirituelle commune. Prenez le risque, à partir d’aujourd’hui, de
vous lancer dans cette merveilleuse aventure qui vous est proposée, et ne soyez
pas inquiets si vous en prenez le chemin parce que votre réussite en sera le
couronnement. Soyez certains que votre nouvel engagement sera honoré par tous
vos patients. Ne restez pas plus longtemps les bras croisés ou dans
l’expectative : ils vous attendent !
Pour terminer, je dirai ceci : les
schizophrènes sont des êtres merveilleux d’amour et lumineux dans toute leur
splendeur. Ils doivent lutter eux-mêmes contre les esprits sombres qui les
réduisent à l’état d’esclaves, et savoir qu’en agissant avec la foi d’être
vainqueurs, ils s’en débarrasseront définitivement sans aucun secours thérapeutique
médicamenteux »
Olivier et ses amis guides spirituels.
Ma réponse - Réplique culte.
Film « Le Pacha » de Georges Lautner et Michel Audiard.
Réplique de Jean Gabin (Commissaire Joss) à Robert d’Alban
(Inspecteur Gouvion) :
«Je pense que quand on mettra les cons sur orbite, t’as pas fini de
tourner.»
Libérez-vous
de vos chaînes psychotiques que sont toutes les croyances débiles.
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Page mise à jour le mardi
19 janvier 2010 - * maurice.champion20@wanadoo.fr
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