L’envers de la vie, l’univers du
schizophrène
Critiques au fil du temps.
De la
plus récente à la plus ancienne.
De Marlène : (1er mai 2011)
Je viens vous remercier avec quelques mois de retard
de ce que vous m' avez fait parvenir votre ouvrage qui m' a beaucoup aidé et
informé sur cette pathologie qu’est la schizophrénie.
Aujourd'hui, je suis "Aide
Médico-Psychologique diplômée d'Etat et
je travaille en ESAT.
J’encadre des jeunes atteints de cette maladie et
cela m’arrive encore de consulter votre ouvrage.
Merci encore.
Retour d’un jeune internaute, après avoir
lu mon livre (6 juin 2007).
Je viens de
découvrir votre site Internet.
J’ai lu votre
livre en septembre dernier, et je n'ai pas décroché. Il a contribué à mieux
comprendre ma maladie, à appréhender mes crises. Je vous en remercie.
Eric - 33 ans
Je suis sous
traitement depuis 2003 et malade depuis 15 ou 20 ans.
En
retour, je ne peux que lui rendre son remerciement, c’est lui seul l’artisan de
sa guérison, c’est lui seul qui a le pouvoir de se faire évoluer vers la sortie
de son mal. J’en mesure toute sa difficulté personnelle, chaque pas est un
combat pour vaincre ses angoisses intouchables. Son message est une avancée
pour tous et je l’en remercie encore, car comprendre et l’intégrer est la chose
la plus difficile à prendre en compte en toutes circonstances et c’est tout le
cœur de cette « maladie ».
Une
lectrice de Grenoble.
Quel
livre !!! Je l’ai lu deux fois. Quelle vision de cette maladie hors de
tout ce que l’on a comme préjugé sur ce qui est présenté comme la folie. Un
témoignage qui remet les pendules à l’heure sur la logique destructrice de ce
mal méconnu. Un père qui ne manque pas de courage de démontrer la source des
croyances et des religions dans la schizophrénie hallucinatoire. Un livre
courageux, agréable à lire, décrivant ce monde inconnu, on pleure dans la joie
de découvrir un père plein de lucidité.
Psychologies
magazine.
Schizophrénie...Le mot
est connu, la maladie reste une énigme, y compris pour les soignants. L'auteur,
un père confronté à la maladie de son fils, apporte un témoignage détaillé sur
les rouages de cette psychose de persécution et de l'univers terrifiant dans
lequel le patient évolue. Plus qu'un voyage au coeur
de la souffrance, c'est aussi le récit des efforts d'un homme pour ramener son
fils au réel.
Un livre d'une
grande humanité.
CMCAS
infos/internet.
L’Envers
de la vie est le témoignage âpre et émouvant d’un homme confronté à la
schizophrénie de Rodolphe, son fils, depuis l’apparition des premières crises
hallucinatoires jusqu’au regain d’espoir d’une relative rémission. Pas à pas,
on suit le cheminement courageux d’un père face à “l’inimaginable tourmente”,
ce “plongeon dans le néant” d’un jeune adulte, “malade en excellente santé”.
Combat d’un père aimant, d’un homme luttant contre les préjugés touchant ces
“malades dits fous”. Son fils, peu à peu, franchira cette barrière des
croyances où la maladie puise sa forme et sa force.
Un livre
rare parce qu’écrit de l’autre côté du miroir, après en avoir traversé, un à
un, tous les reflets, toutes les trompeuses apparences.
Une mère concernée de Nantes. (Que je remercie tout particulièrement).
Le
témoignage émouvant d'un père pour sauver son fils : un message d'espoir pour
toutes les familles concernées. J’ai lu ce livre, ou plutôt le témoignage
bouleversant d'un père et du combat qu'il mène à coté
de son fils atteint de schizophrénie En dehors des
documents professionnels écrits par des spécialistes, peu d'ouvrages traitent
de ce sujet. L'auteur, Maurice Champion, n'est pas quelqu'un de célèbre et
pourtant son livre mériterait d'être connu. Il peut être un outil précieux pour
les parents qui comme moi sont confrontés à cette terrible maladie. Ce n'est
pas un livre triste (l'auteur fait même preuve d'humour malgré la gravité du
sujet), mais un message d'espoir, un récit courageux (cf. le mythe des
croyances) qui ne peut laisser indifférent.
UFAL de Seine et Marne. (Union des FAmilles Laïques – JF.C.)
Un long parcours
pour le malade, pour sa famille mais aussi une réflexion et la recherche d’une
issue positive.
Ne cherchez pas ce
livre, vous ne trouverez pas chez un libraire, il faut le commander, l’auteur
m’a même conseillé de demander à la FNAC qui a répertorié le titre. Maurice
CHAMPION, rencontré incidemment lors de l’AG de l’UDAF (1) de Seine et Marne n’a pas
réussi à trouver un « grand » éditeur. J’ai pris l’ouvrage pour le
lire par politesse au début puis très vite avec intérêt. L’auteur nous plonge
dans l’univers infernal, déroutant de la schizophrénie, cette psychose mentale
qui atteint plus ou moins 1% de la population. Certains comme Jeanne d’Arc ont
acquis beaucoup de célébrité... Mais il faut dire que sa
fin fut plutôt tragique... Revenons-en à la schizophrénie moderne. On ne peut
ni confirmer ou infirmer que Saddam Hussein a été ou est atteint par cette
psychose même s’il a affirmé que « le 22 octobre 1990 le prophète Mahomet
lui aurait parlé dans son sommeil et lui aurait indiqué où pointer ses
missiles » Maurice CHAMPION traite de cette question à la fin de son
livre, mais il ne s’agit là que de remarques relativement
« furtives » de l’actualité. Il aurait pu par ailleurs rappeler que
Bush se prend lui pour le représentant de dieu sur terre !
L’auteur nous fait
partager sa souffrance de père, sa recherche et surtout les angoisses,
l’anxiété de son fils atteint par cette cruelle maladie, persécutante.
Au-delà de la description, l’auteur nous livre ses doutes, ses réflexions, ses
recherches. Comme Maurice CHAMPION l’explique très clairement : « La
schizophrénie se construit aussi toute seule, comme un pot de peinture qui
durcit avec le temps, il est impératif de remuer et d’agiter sans cesse ».
Remuer, remuer encore, c’est ce qu’il fait durant douze années avec comme
objectif : la guérison. La religion est l’opium du peuple, écrivait Marx,
elle nourrit aussi, surtout dans forme la plus extrême l’hallucination
individuelle et collective. Pour sortir son enfant de cette psychose, il faut
du soin, de l’attention et lui extirper toutes les croyances qui ne peuvent que
réconforter son mal.... Il n’y a pas de remède miracle : seuls, le suivi
médical, l’affection, la persévérance et l’attention de chaque instant portée
au malade peuvent l’aider à trouver une issue positive et non dramatique à
cette crise aiguë et prolongée. La curiosité peut être une qualité. Ce livre
est à conseiller. Sa lecture est aisée, pas plaisante car la douleur est
présente mais l’auteur garde beaucoup de pudeur.
(1) (Assemblée Générale de l’Union Des Associations Familiales.)
ç Présentation -
Ce qui a été repris è
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Page de mon site : http://champion20.monsite-orange.fr
Mise à jour le vendredi 13 juillet 2012 - * maurice.champion20@wanadoo.fr
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