Schizophrénie, cette maladie religieuse.
Les convictions religieuses sont les prémices de la
schizophrénie hallucinatoire.
La sérotonine, le vecteur des hallucinations
mystiques et schizophrènes des « positifs ».
www.atlas-yoga.com/fr/enseignement-de-vie/la-serotonine è
La religion n’est pas un droit, c’est une maladie de
disfonctionnement du cerveau.
Libérons cette fausse liberté de croyances ; juste un
excès de dopamine et de sérotonine.
Négatifs, positifs et croyances productives.
La prévention sera-t-elle encore absente pour plaire à
l’électorat ?
Mais ce n’est pas grave ce ne sont que des jeunes…
Schizophrénie et religions
Neurosciences : «les expériences
spirituelles, religieuses ou non, ne sont rien d'autres que des processus
mentaux» Antonio Damasio neurologue.
Les dits
prophètes, gourous, religieux et tous ceux qui vous affirment que l’au-delà
existe, vous racontent les délires de malades psychotiques. Ce n’est pas compliqué
de comprendre que lorsque l'on entend des voix, que l’on voit l’invisible ou
que l’on ressent intérieurement du spirituel, on en schizophrénie
hallucinatoire ; et c'est rétroactif... -
Antoine Lesur, psychiatre «La schizophrénie, la comprendre pour
mieux la vivre.»
« La désorganisation que cause la
maladie s’accompagne d’interrogations incessantes sur sa propre identité, sur
les valeurs morales (le bien et le mal, Dieu et le Diable), sur la
sexualité etc...
Perdus sans repères, ils peuvent être
attirés par l’ésotérisme, la magie, voire les sectes à la recherche d’un absolu
en fait inaccessible. »
La religiosité se soigne
:
Extrait des notices pharmaceutiques ZYPREXA et
ABILIFY : «
Utilisé pour traiter une maladie caractérisée par des symptômes tels que le
fait d’entendre, de voir, de sentir les choses qui n’existent pas, …, d’avoir
des croyances erronées,… » -
«Dieu» parle,
montre mais n’écrit jamais à personne.
23% des
schizophrènes ont des délires mystiques : pseudo-relations avec l’au-delà.
Et la prévention absente
Que les acteurs médicaux, politiques et
religieux se mettent autour d’une table et définissent les différences entre
les relations dites «mystiques» venant de l’au-delà : contacts prophétiques,
apparitions, voix intérieures d’avec les manifestations hallucinatoires
psychotiques, qu’elles soient visuelles, auditives, de sensations
intérieures...
Ne
plus croire prend moins de 5 minutes, si vous dépassez cette limite, ce n'est
pas que "Dieu" existe, mais que vous avez l'envie pathologique
de croire. Et les lieux de culte permettent de cultiver votre dépendance.
Arrêtons de promouvoir et de vénérer cette maladie qui fait tant de
dégâts.
Un devoir de santé mentale envers de nombreux jeunes prisonniers de
l’omerta qui règne sur la schizophrénie.
Un père en colère devant ce désastre.
http://schizo-non.allmyblog.com/141-hallucinations-religieuses.html
Libérons cette
« liberté » de croire.
Un
lecteur avisé m’a interpellé, me disant que pour écrire un tel site je
devais-être à l’asile.
De
‘salut débile’ : Coucou le timbré. Suicide-toi pauvre mec.
Réponse :
C’est bien le langage caché d’un croyant certain de ses délires et qui en
redemande.
L’asile(*), c’est comme les lieux de culte, un
monde fou qui pense être en contact avec Dieu ; des fidèles qui sont
certain qu’un paradis se cache derrière les nuages ; qu’ils vont
ressusciter et donc revoir leurs ancêtres
limités à la création divine d’Adam et d’Eve…
Et ceux qui n’ont pas de place dans
les lieux de culte en demandent à profusion pour combler leur handicap
religieux.
Comme quoi la folie est un besoin.
Vas comprendre…
(*) Pour les retardataires, les
asiles n’existent plus et ont été remplacés par des hôpitaux psychiatriques où
l’on soigne des malades en souffrance de par leurs perceptions positives
attribuées -bien souvent- aux forces du mal.
Mais, par contre les lieux de
culte ont encore un bel avenir.
ç Commentaire – Mais à qui l’a-t-il ? è
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jour le mercredi 1er janvier 2014 - * maurice.champion20@wanadoo.fr
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