ETAT DE SANTE DE NOTRESECURITE SOCIALE.

L'état d'âme d'un assuré social

Par Claude Pelletier

 

A l’attention de tous les correspondants.

Le thème développé est bien d’actualité et fait l’objet très fréquemment de multiples débats politiques qui engendrent des articles de presse en cascade. Après avoir cru à la vérité des chiffres affirmés par les pouvoirs publics , j’ai commencé à en douter en début d’année lorsque l’auteur d’une publication associative à mis en évidence le volume de la dette de l’Etat envers la Sécurité Sociale par rapport au déficit annoncé pour l’année 2006 : près de 90% du chiffre du déficit .Ceci m’a conduit à une réflexion sur le volume de la dette par rapport au chiffre du déficit en y rapprochant les propositions « en économie de bouts de chandelle » du Ministre de la Santé pour réduire les dépenses de santé et par cette voie participer à la réduction du déficit . A cette occasion il fut omis d’évoquer la dette de l’Etat et il en est résulté une comparaison entre des chiffres totalement disproportionnés à la situation et qui ne sont pas de nature à encourager les économies.

J’ai donc entrepris des recherches pour tenter d’établir un diagnostic sur l’état de santé de notre Sécurité Sociale. Les recherches furent longues et l’étude reste encore incomplète mais j’y ai découvert que notre Sécurité Sociale est devenue un organisme monstrueux et immaîtrisable au sein duquel même la Cour des Comptes ne s’y retrouve pas.

J’ai transmis plusieurs développements à de multiples contacts afin d’informer et recueillir à l’occasion quelques commentaires sur les documents transmis. L’étude fut d’abord présentée en 2 dossiers transmis avant l’été 2008 : 1 dossier texte de 11 à 12 pages et 1 dossier présentant les copies des pièces «officielles» qui ont servi à construire l’étude : 15 pièces annexes avec 1 nouvelle pièce annexe jointe ce jour.

Il y a quelque temps à la suite d’une négociation avec des organismes de presse j’ai été conduit à restreindre et même à amputer les dossiers qui se sont réduits à 1 dossier de 4 pages au sein desquels sont citées les références des pièces officielles entre () utilisées pour construire le développement Si j’admets que les premiers dossiers n’étaient pas très attractifs en lecture alors qu’ils mettaient en évidence la complexité de l’organisme Sécurité Sociale , je pense que la synthèse transmise en 4 pages aurait dû mettre en éveil , provoquer le réveil et conduire à une réflexion sur la situation de notre Sécurité Sociale et une interrogation sur son avenir.

Or sur environ 50 contacts je n’ai recueilli que 2 commentaires : à croire que les déficits de la Sécurité Sociale et les franchises sur les boites de médicaments dont une très grande majorité d’assurés se plaint intéressent en fait peu de monde et que ces sourds ou ces aveugles accordent toute confiance à nos « faiseurs de miracles » ou que l’affaire les dépasse. Ils laissent ainsi le champ libre aux pouvoirs publics de décider pour eux. Ils se contentent de subir ce qui est fort regrettable.

Bien cordialement et dans l’espoir d’un éveil ou d’un réveil …………………et de commentaires critiques.

Mr. Claude PELLETIER

PS : Je vous suggère fortement de diffuser ce courrier autour de vous pour informer.

Je transmets le dossier à divers organismes susceptibles d’assurer des diffusions qui jugeront de l’intérêt à apporter à l’analyse pratiquée et qui pourront assurer une publication par voie de presse

 

Dossier mis à jour en mars 2009.

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Page incorporée le vendredi 13 mars 2009 - * claude.pelletier3@orange.fr *