Les schizophrénies, maladies psychiques.

Les laissés pour compte.

 

La meilleure ligne droite vers la prison.

 

·         La méconnaissance de cette maladie par le «malade» et sa famille conduit quelques fois à la rupture familiale et donc à l’errance dans la « nature »

Le « malade » en déni de maladie à besoin, en premier lieu, d’une aide, d’un soutien familial, c’est la seule manière d’avancer vers une solution à terme, même si cela prend des années, la famille doit en être consciente.

C’est difficile, souvent insupportable, d’autant plus que ce mal est attribué à tord au comportemental et non à une maladie psychique.

Dans cette maladie méconnue faite de crises déstabilisatrices, ingérables où l’on est confronté continuellement sans en voir l’issue, c’est bien souvent le rejet par l’incompréhension, les tensions internes qui mettent les jeunes dans la rue avec leurs maladies et dont personne ne se soucient.

C’est donc bien par l’information et la prévention, puis par la prise en charge médicale qu’il est possible de remédier à cet état de fait des plus injustes et totalement dévastateurs.

 

·         Les drogues pour calmer ses angoisses avec la délinquance pour subvenir à ses besoins.

Le pré-schizophrène en vulnérabilité (non décompensé) est déjà une personne en souffrance psychique ; n’ayant pas connaissance de sa « maladie », son recours est de consommer des drogues dites « douces »pour tenter de calmer ses angoisses. Le cannabis, par son THC persistant, est un « faux ami », car il est un facteur déterminant de décompensation dans la « maladie ».

Il courant de penser, dans l’opinion publique, que la schizophrénie affecte les personnes jeunes uniquement parce qu’ils ont consommé des drogues, c’est bien à l’inverse qu’il faut considérer ce grand problème de société.

Sans le cannabis, il y aurait environ 20% en moins de jeunes en psychiatrie.

 

·       La prison.

Un malade psychique doit-être soigné et la prison n’est pas cet endroit privilégié pour redonner espoir à ces vies en pleine perdition.

Il est reconnu que plus de 1500jeunes en rupture psychologique de la schizophrénie sont dans ces lieux, le moins que l’on puisse dire inadaptés.

Que soient revues les conditions d’incarcération de ceux qui terminent leur errance en prison.

 

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Mise à jour le samedi 24 juillet 2010 - * maurice.champion20@wanadoo.fr *

 

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