Médication.
Le patient atteint de schizophrénie souffre psychiquement.
Le plus souvent jusqu’à l’insupportable.
Les médications : Les traitements antipsychotiques
è
Conseils de gestion de la
maladie :
Site du laboratoire
Bristol-Myers-Squibb è
Traitement
et suivi du malade.
Seul le psychiatre
–spécialité médicale- est habilité à prescrire une médication.
Si retrouver : Les Thérapeutes du mental è
Le plus pénalisant
pour la personne en souffrance est la non
reconnaissance de sa maladie, son déni.
Cela peut durer
plusieurs années (10 années pour mon fils) sans possibilités de faire entrer
votre « souffrant » dans un système de soins.
L’admission se fait,
le plus souvent, à la suite d’une crise importante de décompensation via les
urgences psychiatriques.
Ce n’est pas pour
autant que la personne se reconnaît dans sa « maladie », ça c’est un
travail de longue haleine et même certains n’y adhéreront jamais car le
« malade » n’est pas dans cette logique... (C’est toute l’histoire de
mon fils que je raconte dans mon livre).
Hospitalisation
Demandée par un Tiers :
L’hospitalisation
devient actuellement un peu moins problématique par la possibilité d’une HDT.
Extrait : HDT è
Malades mentaux en prison !! : Rapport du LDH de Toulon è
Les
neuroleptiques.
Actuellement
renommés et appelés antipsychotiques, en seconde et troisième génération.
Ils sont les
traitements régulateurs qui ont permis les recherches sur la biologie de ces
dernières années
Le traitement
chimique à base d’antipsychotiques et d'anxiolytiques ainsi qu'une
psychothérapie de soutient permettent, dans beaucoup de cas, au malade de
maîtriser, plus ou moins bien, sa vie sociale.
Dans les périodes
difficiles, lorsque l'on sent que la participation émotionnelle s'amplifie et
que les thèmes délirants ou les ordres hallucinatoires deviennent inquiétants
avec un risque pour lui-même ou les autres, il faut s'en inquiéter et
consulter.
Cette situation peut
justifier une hospitalisation.
Dans la majorité des
cas, les troubles n'induisent pas de conduites préjudiciables à court terme.
Une règle simple est de ne pas entrer directement dans les délires et les
hallucinations du patient, tout en ne cherchant pas pour autant à imposer ses
propres convictions, autrement dit à le convaincre qu'il a tort. L’équilibre se
gagne en lui disant que, si nous avons des points de vue différents sur la
question, nous ne critiquons pas ce qu'il peut ressentir, ni ne prenons à la
légère ce qu'il dit.
Autrement dit : nous
comprenons qu'il peut ressentir ce qu'il exprime, du fait de ses difficultés,
de son malaise, de sa souffrance.
L’actualité des pistes et des
nouveaux traitements.
Décembre 2010.
Etude positive pour un médicament
anti-schizophrénie.
Roche
a fait part de résultats positifs pour un médicament-candidat contre la
schizophrénie à l'issue d'une étude clinique de phase II d'une durée de huit
semaines.
Le
groupe pharmaceutique suisse explique que son inhibiteur glycine RG1678 a
démontré « une réduction cliniquement significative des symptômes de la
schizophrénie, accompagné de changements significatifs dans le fonctionnement
personnel et social des patients ».
Il s’agirait de la première molécule
témoignant d’un impact notable sur les symptômes négatifs de la maladie.
Le RG1678, inhibiteur de la recapture de
la glycine, normalise la neurotransmission glutamatergique
en augmentant les taux de glycine au niveau des synapses, ciblant ainsi une
voie importante dans le traitement de troubles psychiatriques.
Ce mécanisme d’action unique, propre au
RG1678, pourrait avoir des applications thérapeutiques précieuses dans le
traitement de troubles psychiatriques autres que la schizophrénie.
Avril 2009.
L´ordinateur pour soigner la maladie mentale
.
Presse
Canadienne de MONTREAL.
L´Université
du Québec en Outaouais (UQO) utilise le génie de l´ordinateur pour soigner la
maladie mentale, permettant du même coup au Canada d´acquérir la réputation de
chef de file mondial dans le tout nouveau domaine de la cyberpsychologie.
Le
laboratoire de l´UQO a d´abord commencé à utiliser la réalité virtuelle pour
étudier et soigner de simples phobies, comme la peur des transports aériens.
Une décennie plus tard, les chercheurs de l´université ciblent maintenant toute
une diversité de problèmes, comme le jeu pathologique, les troubles
alimentaires, la schizophrénie, l´agoraphobie, ainsi que le traitement des
délinquants sexuels. Et bientôt, ils soigneront le trouble de stress
post-traumatique chez les soldats canadiens qui reviennent d´Afghanistan.
Juin 2008.
Le venin d'araignée au secours des neurones.
ð www.bulletins-electroniques.com/actualites/55147.htm
Février 2008.
Le ZELDOXMC.
ðUn nouveau traitement offert au Canada.
ðNouveau traitement
contre la schizophrénie.
Janvier 2008.
Biotechnologies.
ð http://www.unafam66.org/?pge=newsNational
Le groupe
américain signe un deuxième contrat avec Addex pour
développer un médicament novateur.
Depuis sa
création en 2002, Addex mise sur un principe novateur
de contrôle de l'activité enzymatique - dit «modulation allostérique» - pour
développer une nouvelle génération de médicaments réduisant les effets
secondaires.
Septembre 2007.
ð
Le glutamate (Eli Lilly) Voir aussi => Acide glumatique (Wikipedia).
Juin 2007.
Phase d’essai d’un nouveau traitement.
ð Le BL1020 (Entreprise BioLineRX).
Invega (Jassen-Cilag) en comprimé retard (1 seule prise par jour).
ð Invega : Nouvelle
molécule proche du Risperdal, accord européen (Jassen-Cilag).
ð Invega : La molécule
(source : le blog d’un schizophrène).
Octobre 2004.
Des souris et des
hommes...on attend depuis des lustres.
Un vaccin fait ses
preuves chez la souris : ð Recherche &
Santé n°100 – 11/10/2004
C’est à des chercheurs israéliens de l’institut Weizmann que l’on doit la
découverte d’une nouvelle stratégie d’attaque de la schizophrénie :
l’utilisation d’un vaccin, qui préviendrait la maladie en activant le système
immunitaire.
çApproche familiale - Repères et
statistiques è
çç Sommaire
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Page de mon site : http://champion20.monsite-orange.fr
Mise à
jour le dimanche 12 décembre 2010 - * maurice.champion20@wanadoo.fr
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